Joël Valenzuela a un impact durable !

4 octobre 2020, par Joël Valenzuela

Bonjour, je suis Joël Valenzuela. Il y a sept ans aujourd'hui, je suis arrivé dans le New Hampshire pour la première fois, et sept ans plus tard, je suis toujours là.

Mon histoire a essentiellement commencé avant l'université, où j'ai appris deux choses : que j'appréciais la liberté humaine et qu'il est prouvé que la liberté améliore la société humaine. Après avoir appris cela, je suis allé là où je pouvais espérer faire la plus grande différence pour faire avancer le monde dans cette meilleure direction : le monde à but non lucratif. Une partie de ce travail a eu un impact politique direct, mais la plus grande partie était basée sur l'éducation et l'avancement des idées ; ce qui, bien qu'important, a laissé mon impatience insatisfaite.

Après en avoir eu assez de vivre à Phoenix, j'ai cherché du travail dans d'autres États, dans des groupes de réflexion sur le marché libre. L'une de ces organisations était le Free State Project, qui m'a tout de suite semblé quelque chose de passionnant et de différent, mais j'ai vite compris que l'organisation n'embauchait pas, alors je suis passé à autre chose. J'ai cependant suivi les progrès du FSP sur les médias sociaux et, au fil du temps, je suis devenu de plus en plus intrigué par ce que je voyais se produire.

L'événement déclencheur

En décembre 2012, j'ai entendu l'histoire d'une représentante de l'État de Keene qui disait que les Free Staters étaient ce qu'elle considérait comme la plus grande menace pour l'État, alors qu'elle avait juré de leur retirer leurs libertés de manière à les faire partir. J'ai immédiatement eu le sentiment irrépressible que quelque chose d'important était en train de se produire et que je devais y aller et y participer à tout prix. Je me suis engagé à déménager et neuf mois plus tard, j'ai mis tout ce que je possédais dans ma berline à deux portes et je suis parti.

Depuis lors, pour la première fois de ma vie, j'ai eu le sentiment d'être chez moi. Nulle part ailleurs, je n'ai éprouvé un sentiment de compréhension mutuelle de la valeur de la liberté et de l'effort individuel autant qu'ici, autant avec mes collègues qui ont fait le même parcours qu'avec le citoyen moyen dans la rue. Plus important encore, j'ai le sentiment de pouvoir faire quelque chose et de ne pas me battre contre le mur impénétrable du statu quo.

Regardez cette courte vidéo pour en savoir un peu plus sur mon histoire :

Article original publié le 4 octobre 2020 sur fsp.org
Repris avec l'aimable autorisation de fsp.org

Traduction : Vincent Andres, pour libland.be.


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